Au bord d’une petite route, on devine la Caserne Rose, cachée derrière les arbres.
Un portail rouillé en barre l’entrée, mais une fois cet obstacle passé, plus aucune porte ne retient le visiteur. En prenant garde d’éviter les sols qui s’effondrent par endroit, on découvre les inscriptions des soldats de l’époque, gravés dans les murs : « ici j’ai souffert, bon courage les prochains ».